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LES SCULPTURES
Partie intégrante du 'Banquet ou de l'Amour', le ballet des 'Sculptures' anime les figures de Galatée. Au sein d'une «patience éternelle », la statue déplace sa fragilité de mouvements en infra-mouvements. C'est un mythe atemporel qui se répète : la créature parfaite de Pigmalion n'est que la pâle image d'une perfection idéale, une fragilité humaine retenue dans un carcan de pierre.
Le ballet des sculptures est une recomposition d’éléments
chorégraphiques, inspirés des positions
de sculptures classiques. La chorégraphie joue sur l’immobilité, l’accélération et les mouvements de groupe. L’énergie corporelle fait corps avec les lieux et le contexte des jardins à la française du 17 et 18 éme siècle, souvent composés de mises en scène narratives illustrant les mythologies en sculpture.
Le chorégraphe Maxime Gralet a développépour les Contemporary Mythology un style chorégraphique issu de la danse buto et contemporaine, inspiré du cyborg et intitulé « Le Bug» (mouvement saccadé, mécanique et samplé). L’écriture chorégraphique répond à un certain nombre de contraintes, notamment afin de pouvoir cloner et organiser des fugues entre danseurs virtuels, jouant sur des effets de perspective, de mise en abîme et de rapport d’échelle.
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