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Le Banquet ou de l'Amour est une création esthétisante travaillant sur le renouvellement du langage baroque, que ce soit la danse (le menuet ou la sarabande), les costumes, la musique, ou les codes gestuels, les mimiques, les rapports corporels qui animent notre
inconscient collectif. Dans cette visitation nouvelle d'un univers séduisant, les miroirs sont des sortes de témoins, de relais voyeuristes des histoires qui se trament.

LE BANQUET OU, DE L'AMOUR

   LE BANQUET OU DE L'AMOUR

Cette installation extensible pluridisciplinaire, musicale, chorégraphique et audiovisuelle
repose sur une scénographie numérique daptable à tous types de lieux, extérieurs comme intérieurs. Composée de huit cadres géants, l’installation happe le spectateur qui
s’immerge dans un “entre-monde” revisitant l’esthétique du baroque. Baignés de musique baroque, les tableaux numériques sont peuplés de personnages intrigants revélés par
la vidéo 3D. Dans cet univers flottant, quelque part entre hier et demain, les danseurs virtuels semblent sortir de leur cadre pour “interagir” avec le spectateur et l’amener à ne plus discerner le réel du fictif. Le public
peut ainsi déambuler et évoluer entre ces différents tableaux en mouvement, au cours d’une plongée dans un monde épicurien,
élastique, poétique et surprenant.

Création (édition 1),  diffusée au Pigonnet et au jardin de l’hôtel d'Albertas d'Aix en Provence en été 2017. 

DISTRIBUTION ARTISTIQUE

DANSEURS:

Caroline Jaubert

Chloé Saffores

Pierre Boileau-Sanchez

Sandra Francais

Aurélien Charrier

Aurélien Esgoniere

Noëlle Quillet

Maxime Gralet

MUSIQUE :

Antonio Vivaldi

Marin Marais 

Germaiin Pinel 

Jhoannes Kapsberger

CHORÉGRAPHIE RÉALISATION:

Maxime Gralet

Tel: 06 87 37 11 75 

 

Artiste multidisciplinaire, je développe depuis dix ans un travail panoramique sur les thématiques du corps, de l’humain, et de la mémoire cellulaire.

C’est dans les secteurs de la chorégraphie, des arts numériques, de la musique M.A.O, et du dessin, que j’ai pu m’exprimer et m’épanouir ainsi que produire mes travaux.
Bien que mon profil pourrait paraître alambiqué, il n’en n’est rien.

Ma démarche en tant qu’artiste contemporain s’inscrit dans cette pratique multiple, « désaliénée », plutôt que dans une pratique « unitaire » elle-même. Je cherche dans mon travail à construire un fil « d’Ariane », reliant d’un point de vue évident le corpus global d’une œuvre, d’une idée, et d’un terrain à cultiver.

La danse est évidemment l'axe central autour duquel sont proposées toutes ces créations et ces pratiques (de la conception scénographique, alliant rythmique, images et sonorités, sans parler des costumes, qu’ils soient de chair ou de tissus).

La conscience de l’éphémère, de la fragilité du vivant, me dépasse et me fascine. À l’évidence, l’humain est une créature complexe, surprenante, dotée d'un 'programme' de haute technologie.
Intéressé en outre par l’anthropologie, je m’intéresse au contexte socio ethnologique qui révèle des sujets intrigants via des points de vue divergents, convoquant différentes notions, telle que la question de la temporalité, de l’altérité, de l’éthique, ou encore, les rites et les croyances, l’esthétisme, la résilience.

C’est dans le cadre de multiples créations chorégraphiques avec la compagnie Danse Numérique que j’’ai exploré des créations « hybrides», abordant notamment les sujets de l’intelligence artificielle, du cyborg, et de la bioéthique.

BIOGRAPHIE :

Maxime est un artiste multidisciplinaire, danseur, chorégraphe, compositeur et plasticien qui se qualifie comme un explorateur de la matière.

 

Après un parcours au Conservatoire Darius Milhaud d’Aix en Provence ainsi que de chorégraphe au sein de la compagnie "Danse Numérique/ADN", il produira ses créations chorégraphiques, musicales et plastiques notamment au Théâtre de Verdun, à L’Opéra de Rennes, au Palais de l’Archevêché d’Aix en Provence, à la Galerie ADN d’Aix en Provence, au Centre d’Art Château de Caladroy, au Hangar Belle de Mai de Marseille ou encore au Pavillon Noir (Centre Chorégraphique National) d’Aix en Provence dans le cadre d’une vidéo-danse en hommage au danseur étoile Larrio Ekson.


Le travail actuel de Maxime explore la notion de plein et de vide et aborde le mouvement sous une forme plastique dépouillée.   Un retour à la matière par l’usage de pigments naturels, de charbon, d’argile, et de lignes abstraites, abordant la poésie de l'éphémère, du mouvement ainsi que celle de la fragilité des récits...


 

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