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CASSE NOISETTE

Casse Noisette comprend une floraison d'extraits d’œuvres célèbres, en réponse à une commande de l'Orchestre Philharmonique de Provence. La Fée Dragée ou encore la Danse Arabe, ou encore l'intégration  de la Danse Macabre de Camille saint saens ou du Lac des Cygnes de Tchaïkovski , sont réinterprété librement selon l'univers personnel de l'artiste. En hommage à Carlo Collodi et pour les 100 ans du créateur de Pinocchio, l'épisode de la Fée Dragée permet la réinsertion de la marionnette au sein d'une écriture de type danse-théâtre. Les thématiques de l'hybride humain, de l'identité controversée, de la créature animée, ou de la force d'une condition d'objet, sont la encore exploités. Le personnage du cygne dans le Lac , rencontre et côtoie ainsi un être étrange, un cyborg d'un autre-temps, dont la simple humanité réside dans la volonté, la volonté de chérir. Cette polarité destin/volonté, trouve une double résonance dans la création de la Danse Arabe. Tel le yin, et tel le yang, les danseuses évoluent en miroir, afin de satisfaire une double résolution, d'une part, la séduction du bourreau, et, d'autre part, l'invocation au ciel, seul et véritable démiurge. 

Ballets réalisée en collaboration avec l'Orchestre Philharmonique de Provence en 2012 au théâtre Émilien Ventre.

DISTRIBUTION ARTISTIQUE :

DANSEURS:

Anna Tatarova

Sergio Diaz

Sandra Français

Nuria Nagimova

Liam Warren

Caroline Jaubert

Maud Anaïs Poudra 

CHORÉGRAPHIE :

Maxime Gralet

DIRECTION MUSICALE :

Michel Camate

MUSIQUE:

Tchaïkovski, Camille Saint-Saens

COSTUMES:

Pirome

Tel: 06 87 37 11 75 

 

Artiste multidisciplinaire, je développe depuis dix ans un travail panoramique sur les thématiques du corps, de l’humain, et de la mémoire cellulaire.

C’est dans les secteurs de la chorégraphie, des arts numériques, de la musique M.A.O, et du dessin, que j’ai pu m’exprimer et m’épanouir ainsi que produire mes travaux.
Bien que mon profil pourrait paraître alambiqué, il n’en n’est rien.

Ma démarche en tant qu’artiste contemporain s’inscrit dans cette pratique multiple, « désaliénée », plutôt que dans une pratique « unitaire » elle-même. Je cherche dans mon travail à construire un fil « d’Ariane », reliant d’un point de vue évident le corpus global d’une œuvre, d’une idée, et d’un terrain à cultiver.

La danse est évidemment l'axe central autour duquel sont proposées toutes ces créations et ces pratiques (de la conception scénographique, alliant rythmique, images et sonorités, sans parler des costumes, qu’ils soient de chair ou de tissus).

La conscience de l’éphémère, de la fragilité du vivant, me dépasse et me fascine. À l’évidence, l’humain est une créature complexe, surprenante, dotée d'un 'programme' de haute technologie.
Intéressé en outre par l’anthropologie, je m’intéresse au contexte socio ethnologique qui révèle des sujets intrigants via des points de vue divergents, convoquant différentes notions, telle que la question de la temporalité, de l’altérité, de l’éthique, ou encore, les rites et les croyances, l’esthétisme, la résilience.

C’est dans le cadre de multiples créations chorégraphiques avec la compagnie Danse Numérique que j’’ai exploré des créations « hybrides», abordant notamment les sujets de l’intelligence artificielle, du cyborg, et de la bioéthique.

BIOGRAPHIE :

Maxime est un artiste multidisciplinaire, danseur, chorégraphe, compositeur et plasticien qui se qualifie comme un explorateur de la matière.

 

Après un parcours au Conservatoire Darius Milhaud d’Aix en Provence ainsi que de chorégraphe au sein de la compagnie "Danse Numérique/ADN", il produira ses créations chorégraphiques, musicales et plastiques notamment au Théâtre de Verdun, à L’Opéra de Rennes, au Palais de l’Archevêché d’Aix en Provence, à la Galerie ADN d’Aix en Provence, au Centre d’Art Château de Caladroy, au Hangar Belle de Mai de Marseille ou encore au Pavillon Noir (Centre Chorégraphique National) d’Aix en Provence dans le cadre d’une vidéo-danse en hommage au danseur étoile Larrio Ekson.


Le travail actuel de Maxime explore la notion de plein et de vide et aborde le mouvement sous une forme plastique dépouillée.   Un retour à la matière par l’usage de pigments naturels, de charbon, d’argile, et de lignes abstraites, abordant la poésie de l'éphémère, du mouvement ainsi que celle de la fragilité des récits...


 

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